Le deuxième symposium des théologiennes religieuses de l'UISG a débuté au Centro Ad Gentes de Nemi, à Rome. Réunissant 29 participantes des cinq continents, le symposium promet une semaine d'échanges et de réflexion animés.

L'événement a débuté dans la soirée du 26 mai par un accueil chaleureux, au cours duquel les participantes se sont vues présenter les objectifs et le programme du symposium, et ont brisé la glace grâce à une activité engageante, favorisant des liens qui enrichiront l'ensemble de l'expérience.

Le lundi 27 mai a marqué l'ouverture officielle du symposium. Lors d'un rituel d'ouverture significatif, chaque sœur a symboliquement apporté des éléments représentant le charisme de sa congrégation et son pays. Cette grande démonstration de diversité mondiale a donné le ton de la journée.

Sœur Patricia Murray, ibvm, secrétaire exécutive de l'UISG, a prononcé le discours de bienvenue. Dans ses remarques, elle a souligné l'objectif du symposium : nourrir la réflexion théologique sur la vie religieuse d'une manière qui soit à la fois contextuelle et pratique.

La matinée s'est poursuivie avec le discours de Sœur Nathalie Becquart, xmcj. Son intervention, intitulée "Synodalité et vie religieuse", a suscité une séance animée de questions-réponses, permettant aux sœurs de partager ouvertement leurs inquiétudes et leurs aspirations concernant le parcours synodal actuel au sein de l'Église.

Ce symposium se veut une plateforme vitale permettant à ces théologiennes religieuses de se connecter au-delà des frontières, de partager leurs expériences, de tisser des liens et d'améliorer la réflexion théologique sur la vie religieuse. Il ne fait aucun doute que les réalités difficiles auxquelles sont confrontées d'innombrables personnes à travers le monde inspireront et remettront en question les réunions, le contenu et les résultats du symposium.